jaiplusdesouvenirs

10 septembre 2006

 

Famille heureuse...


Voilà, vous vous attendiez à un truc qui vous détende peut etre, à ce que je vous fasse rire, bein j'en ai pas envie et pi, quelque part, désolée, mais je vous emmerde...
et il faut bien que je le dise à quelqu'un puisque je ne peux tout simplement pas le leur dire à eux ces mots là qui pourtant ont déja forcé le passage :

Famille je te hais !

Je voudrais souvent, souvent, qu'ils soient tous crevés, et quelque part, quand on en sera là, je serai soulagée, de n'avoir plus a lutter, de n'avoir plus à courber l'échine, de n'avoir plus des chagrins d'amour quotidiens, de ne plus entendre de cris, de ne plus craindre qu'ils ne sortent plus de l'hosto, de ne plus craindre chaque repas de famille, chaque Noel, chaque réveil ou je suis de passage chez eux, de ne plus craindre que mes frères les blessent, que je les blesse...
L'horreur de Volver, avoir fait le deuil de sa mère et la retrouver, toujours aussi casse couille et agressive et aimante... pour la perdre à nouveau... la regretter et soupirer de soulagement... le coeur serré de culpabilité...

Ouai qu'ils crèvent et qu'ils me laissent les aimer en paix, totalement, en toute plénitude, sainement... comme on aime ses parents vieillissant et ses petits frères. Purement.

Qu'ils crèvent.
Que je puisse les aimer enfin.


cette obsession depuis que j ai ecrit ces lignes, cette culpabilité... cet amour... me font rajouter ces quelques mots.
parce que bordel, qu'ils ne crèvent jamais... et que l'on continue a mal s'aimer, tous ensemble.


Comments:
Famille(s ?), je vous hais !

C'est André Gide qui disait cela, je crois me souvenir...

Autre part, il disait aussi :
"C'est du parfait oubli d'hier que je fais le bonheur de chaque jour"...

Bon courage Lunar !

Bon, cela dit, ayant vite (trop ?) réagi aux toutes premières phrases de ta note, je vais la lire in extenso, histoire de mieux (te) comprendre...
 
J'ai lu, et ouf, au secours...

Pas évident de prendre sa liberté, sans attaches, sans hâvre forcément attaché en arrimage...

Quel âge as-tu Lunar ?

Je te demande cela comme cela Lunar, la trentaine ?, simplement parce que dans les familles, quand ce n'est pas simple, et souvent hélas c'est le cas, il faut, et on perd, beaucoup de temps !
 
Cela dit, qu'ils crèvent, on peut dire aussi "mort aux cons" !

Le seul blèm est de ne pas se faire prendre soi-même dans la tourmente...

lol et sympathie
 
dis on marche aux commentaires proliferiques tous les deux mais qd meme tu pourrais faire l effort d un en 4 non :)
 
Qu'ils crèvent, qu'importe !
Que tu vives, surtout !
Ecrire celà demande infiniment de courage et d'amour, de foi, en la vraie vie.

Tout est dit.
 
ecrire cela demande...? cela implique surtout, cela entraine... cela exige !
je vis, trop meme...
 
lunar a dit…
dis on marche aux commentaires proliferiques tous les deux mais qd meme tu pourrais faire l effort d un en 4 non :)
____

Ouais, je sais !
Mais c'est comme l'envie de baiser, je ne fais jamais rien en une seule fois...

Alors 1 en 4 en 1 fois ?

Je préfère 4 fois 1 en 1...

Suis-je pardonné ?
 
Cela dit, Lunar, on ne vit jamais trop...

Bon, j'va faire dodo, car 5 h en 3 jours, ce n'est pas raisonnable !

mmmiaou ? :)
 
si votre baisage se rapporte a votre écrivage,
Vous êtes le pénis, des mottes sauf de moi...
 
ah et aussi... merci fatalis !
 
mais écris encore jeancquille !
(t as vu pas mal ma prolifération commentarienne !)
 
fatalis me fait penser qu'une fois j'ai pris du cialis...

Au secours (ou os long ?)

Cela dit, tu n'es pas (j'espère) une corbaque, et je ne sens pas renard, et quitte à enquiller des perles, y a aussi ne pas dire "fontaine, je ne boirai... etc

Prolixe for ever ?
 
Trop ?
 
lunar a dit…
si votre baisage se rapporte a votre écrivage,
Vous êtes le pénis, des mottes sauf de moi...
-----

6 milliards d'individus sur cette planète, et même si nous sommes Parisiens, ce qui augmente quelque peu la probabilité, il demeure que statistiquement on peut facilement passer à côté...

jeancraque
 
lunar a dit…
mais écris encore jeancquille !
(t as vu pas mal ma prolifération commentarienne !)
-------

Mieux que pas mal...

Soyez proliférante, très chère, c'est ce qui assure la survie de notre espèce !

Bon, du coup, je ne suis pas parti faire dodo, eh zut...
 
Tout est dans ce blo, mon metier, et beaucoup d autres hcoses encore y compris ma gueule que de ce pas je m en vais oter...
qu est ce que le cialis ?
trop, je valide... :)
 
Bien, je trouverai donc pour ton boulot, bien qu'en fait, ce n'est pas essentiel. C'est juste pour voir si ma drôle d'intuition est bonne (c'est le terme "public" qui m'a fait entrevoir cela).

Y a ta tête aussi ?

Pourquoi l'enlèves-tu ? Je ne peux croire que tu aies une tronche de Lunarabosse...

Question photo justement, je viens de commencer à papillonner sur ton blog (il faudra que je me mette doucement à lire cela chrono depuis décembre, histoire de ne pas rater d'épisodes), et hasard (ou question de phéronomes), je suis tombé sur une petite photo très "mamelon et merveilles"... marrant ce jeu de miroir, et titillant ce petit sommet qui semble très érectile...

Bon, douche froide, se remettre les idées en place (au fait cette nuit, fatigue aidant -à la fois déficit et surcharge neuronale en se prenant au jeu néanmoins- je suis tombé de ma branche et ai atterri sur mon calendos en matelas, car en fait, I was the corbak (pourquoi ai-je inversé dans ma réponse ?)...

Merci pour tes compliments, en espérant que tu n'es pas une vile renarde flatteuse... :)

Le Cialis, c'est un "médicament" qui est venu en concurrence du Viagra, pour pallier les déficiences d'érection. N'ayant jamais essayé le second, je ne peux que me fier à la rumeur comme quoi le premier est plus fort. Et je veux bien la croire, car largement plus de 24 heures de priaprisme aigu, cela commence à devenir sacrément pompant... Il faut dire que normalement c'est censé pouvoir réveiller un mort, alors imagine l'effet sur un vivant !
C'est l'histoire du pompier qui continue à arroser l'incendie, alors que celui-ci est éteint depuis tellement longtemps que du coup on redoute l'inondation...
C'était il y a un an, et le plus dur d'ailleurs avait été le lendemain quand ma copine avait dû partir bosser (moi-même j'avais dû mettre, pour sortir, un pull assez long et large), et attendre le soir !
Bref, prendre ce produit tous les jours serait peut-être paradoxalement motif de rupture ("Y an marre, laisse-moi dormir" dixit la douce aux yeux cernés), et probablement un coup à se retrouver à l'ANPE suite à un licenciement pour présentation attentatoire à la pudeur...
 
Pour en revenir à ta note, c'est l'ambivalence qui est toujours écartelement quasi impossible à assumer.
Almodovar (eh merde ! comment sur ce clavier mettre un accent sur le o ?) a toujours bien exploré ces rapports troubles et anxiogènes.

Bien sûr que Fatalis a raison, c'est ce que dicte l'instinct de préservation de soi, mais la mise en acte (et la simple pensée déjà...) renvoie -en retour préventif- une belle claque d'auto culpabilisation...

Totem et Tabou... et parfois en refusant de les bouffer, on en vient à se bouffer soi-même hélas !

(C'était mon quart d'heure psychopatho clinique, tendance freudienne orthodoxe, lol...)

Tshimbé raid' Fô pas molli!
 
Ce sentiment d’étouffement qui transpire (ou expire) de ta note m’as suggéré ceci (quasi de l’écriture automatique, en tout cas rapide à jet continu -mdr- et merci aussi à toi, puisqu’hab je suis plutôt flemmard pour coucher par écrit ce qui me passe dans l’esprit...)
Par ailleurs, je vais me calmer, car je ne veux pas te sursaturer, te saouler (à moins que vraiment tu réitères : OK, Jean vas-y !). Cela étant, sur le blog de Slanka, découvert très récemment, tu y avais laissé une note dans laquelle, en substance, tu “chouinais” limite jalouse comme quoi elle avait beaucoup de succès en comments, alors que le tien était plutôt calme. Loin de moi l’idée d’oeuvrer en dépannage, lol, mais bon, du coup j’avais fait visite, et comme ton blog est vraiment digne d’intérêt, why not, and so on ... Pris au jeu, je me surprends à faire fort (en quantité, et espéramment en qualité malgré quelques dérapages incontrôlés... Nobody’s perfect !)

Pour ce petit écrit, il y a aussi que, décidément chieur contrariant pour le fun devant l’éternel -cela pimente toujours plus que les béni oui-oui-, immergé dans ton blog à l’expression crue (car, je suis d’accord avec toi, c’est sympathiquement explosant d’appeler un chat un chat et de briser les digues qui enserrent la rivière), je me suis astreint, à contrario, à une pudeur littéraire toute suggestive en retenue (du soft quoi) quasi 18ème (pas arrondissement, mais siècle !), cela étant avec une écriture plus moderne, et j’espère aussi, m’oubliant au plus en tant qu’homme, en essayant de retrouver une part intime plus androgyne pour tenter de ressentir et de formuler comme une femme.
(P’tain !quand est-ce que je vais finir d’aligner des phrases alambiquées à la Proust ? Notre 21ème siècle demande simplicité -simplisme ?- et concision -no comment...)

Bref, c’est le moment de le dire, voici donc un essai en toute sympathie -et aide éventuelle ?- pour toi, Lunar :



Elle respire mal. Et puis très fort. Un énorme bouquet de lilas qui lui arrondit les bras. La tête enfouie, ployée. Elle a pris son souffle pour aller loin, tout au fond. Doucement elle pénètre jusqu’au coeur de sa brassée : là où il n’y a plus d’air, où il n’est plus question de respirer. Juste faire que sa peau reste sans trembler au contact des grains. Sans bouger. Sans caresser. Qu’ils soient à l’exacte frontière de sa chair. A peine pressés.

Ses yeux sont clos, mais elle se sait très blanche dans tout ce mauve. Elle voudrait l’immobilité, que tout se vide, pour qu’il n’y ait plus au monde que son visage contre ces fleurs. Un attouchement.

Mais elle tremble. Déjà l’air s’en va. Il lui faudrait faire en sorte que ses poumons se déploient en dehors comme une immense corolle et ne gardent d’elle que sa concentration : l’affleurement de tout son être, son corps, son histoire, à sa peau qui épouse les lilas.

Mais elle tremble. Ses bras se resserrent. Les grains glissent lentement et lui caressent le visage. Ces grains trop gros qu’il faudra bien qu’elle malmène. Ils glissent et roulent, ils s’écartent et reviennent, vibrants, lovés, aveugles et tout-puissants. Bientôt elle en a plein la bouche. Des grains violets et durs plein la bouche jusqu’à la gorge, jusqu’au ventre. Il n’y a plus d’air. Ses poumons sont plaqués à l’intérieur d’elle-même, ils poussent contre ses os, son sang, sa peau. Les voiles d’un bateau qui brûle. Ils veulent s’ouvrir, se refermer, s’ouvrir, se refermer.

Elle sait bien qu’il faudra qu’elle renverse la tête en arrière, pour que l’air arrive, que ses poumons se tendent, cambrés, déployés, et qu’elle s’ouvre et se referme, s’ouvre et se referme.

Mais elle attend encore, une seconde encore au sein des lilas qui sont en elle. Dévorante. Mangée. Dévorée.

A se presser contre eux, elle a crevé quelques grains, qui ont giclé quelque chose de sucré. Elle a pensé aux raisons de l’automne à venir. Alors seulement, elle a levé la tête, très loin à la lumière, pour que l’air l’embrase. Et elle s’est ouverte et refermée, ouverte et refermée.

Quand les gens attroupés devant la boutique du fleuriste l’ont aidée à se relever, elle a juste dit qu’elle avaitvoulu respirer le parfum des lilas. Et elle est partie, serrant le bouquet contre elle.

Ils l’ont regardée s’éloigner, ellesemblait couler, ou danser, ou brûler. Elle semblait s’épandre comme un parfum, un chant, une femme.


___________

Petit exercice si ce texte t’a plu : à un moment, j’ai mis une petite note de fantasmatique carrément typiquement masculine -ironique aussi : sauras-tu la retrouver ? :):):)
 
d abord moi je n aime pas ce texte je n ai pas trouvé le ton adequat et je ne vis pas chez moi pour l instant du coup je passe souvent a coté de mes pulsions scripturales... tu verras ca changera d ici une semaine...
Pour ta pointe de fantasmatique, a part le fait d avaler et de faire du flux reflux je ne trouve pas...
et il y a une chose que j aime dans ton texte : l image qu elle exprime, et une autre qui me gene : il est presque trop explicite. moi j aime pas trop l explicite (sauf quand je l adore... ouai ok bon)
te gene pas pour commenter, cependant parfois les mails feraient l affaire je pense... et puis tu m appropries la ! :)
 
Tu vois comment le soft peut être plus explicite que le cru !

Bon, aimer, ne pas aimer, cela fait partie des essais/erreurs de la vie, surtout que chacun son truc... et c'est bien d'ailleurs cela qui fait la difficulté de pleines rencontres.

Tu n'es pas chez toi ? Toujours en vacances ou sympathiquement maquée au domicile d'un icelui ? La rentrée a eu lieu pourtant, non ?

Sorry de mon humour incertain, et/ou de on indiscrétion....

Et d'ailleurs question, -comment dire ?- de me t'approprier : non, de quel droit de ma part ? Et puis, tu as toujours la liberté de ne pas publier mes comments!!!!

Par mail ? Pourquoi pas ? Tu indiques d'ailleurs le tien, yahoo !
Le mien n'a rien de secret non plus, c'est jean_calone@yahoo.fr

Bon, en attendant la semaine prochaine*, supposant que depuis décembre tu as tout de même dû être chez toi et donc avoir pu assouvir tes pulsions scripturales, je vais lire...

* Pure figure de style, car je retiens ton "ne te gène pas"... Mais bon, c'est vrai que cela fait désordre si je semble squatter ton blog (d'où, à nouveau, je te dis que tu peux ne pas publier, tailler dans le vif en expurgeant, voire -mais honnêtement- modifier un peu mes posts.

PS : le fantasmatique masculin est le rêve de toute-puissance.
La fellation -tu n'as pas tort- tout comme la sodomie- sont aussi des fantasmes masculins de domination, voire d'humiliation (et tu as raison, cf ta note bouffe entre copines quant à l'avaleuse de sabres...)
Moi perso, je peux aimer, c'est selon l'autre avec qui, mais bon, je n'en ai pas de sur-investissement particulier, cela ne m'est pas obsessionnel, et je n'y vois rien d'autre qu'un acte amoureux, au même titre par exemple que faire se dresser la pointe des seins. (= comme cela, référence à cette photo "mamelon et merveilles" miroir appareil près du sein (au passage, paradis pour la personne qui était là..), cela ressemble et peut être comme un volcan attendant l'irruption.

Brève, riassunto dei fatti, sans virer dans une sorte de tantrisme métaphysico-bodon, néanmoins tout peut être érogène et jouissif !

PS : sais-tu que les deux tableaux de Munch (une des variantes du Cri, et la Madone) ont enfin été retrouvés ?
 
Il y a eu aussi une superbe expo au Grand Palais (avec finalement pas énormément de tableaux de Klimt que cela -pas les plus connus en toutcas- - mais beaucoup de ses paysages étaient là, et cela a suffit à mon bonheur) sur la Vienne années 20... Kokoschka, Moser et surtout Schiele (waouh, sublime torturé, beau trait, quelle connerie que 3 des 4 soient morts en 1918, et surtout Egon le plus jeune... Qu'aurait-il donné au monde s'il avait vécu ?).
As-tu été voir cela ?
 
ou as tu vu ce sein tendu ?
j ai beaucoup aimé les lilas et le plongeon jusqu a s oublier.. ne te meprends pas
oui ce blog a l origine etait bien plus intime, photos etc
j ai tout enlevé je fais du commercial maintenant...
 
Tu fais du commercial maintenant ?

Précise, svp...
 
Cela dit, si ton blog était plus intime auparavant, et que maintenant -finalement 9 mois après sa création si j'ai bien compris- tu éprouves le besoin d'enlever, c'est bien que tu t'es en partie débarassée d'un fardeau.

Bien plus intime signifiait-il bien plus impudique ?

C'est bien que tu te revisites (même si c'est dommage que du coup, n'entâmant la lecture que maintenant, je me fasse zapper quelques éléments de ta personnalité...)

=== Hasta la vista ! ====== :)

>>>>> Mail in your box
 
jean excuse mon style lapidaire mais en meme temps je bosse : je m y connais mieux que toi en debandaison malheureusement
2-commercial car trop obsédée par la lecture et pas assez intime
3- oui j ai vu l expo qui etait magnifique
a toi...? enfin peut etre devrais tu attendre mon prochain texte non ?
 
OK
 
Explosé !

Lunar,

va faire un tour chez Slanka : elle a fait une note "Plaquette de leurre" en tranche saisie de vie qui est fun.

Schizo ?

Je t'ai expliqué, donc tu m'y reconnaîtras (et toi seule d'ailleurs car je n'ai jamais rien dit à Slanka à propos de cette sorte de double identité, ni à personne d'autre d'ailleurs...

Ma, fare vita beata, allegra, piacévole è gaudente !

(Désolé, j'ai gardé un peu l'italien de mon père, mais ayant faitdu latin, de l'anglais, de l'allemand, a été oublié un peu beaucoup l'espagnol de ma grand-mère maternelle de Carthagène - Altéa pour être plus précis...

Salut l'amoureuse de Madrid !

Jeansaitplustropoùilest...
 
Question machins à se flinguer, mais là sur le rapport homme/femme primordial, il y a cela aussi...

Dans le vieux parc solitaire et glacé, Deux formes ont tout à l'heure passé.
Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.
Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Deux spectres ont évoqué le passé.
- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne ?
- Ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ?
Vois-tu toujours mon âme en rêve? - Non.
Ah! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.
Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles.


Colloquons sentimental certes (c'est comme quand tu disais épousailles via clavier...), mais bon, il faut garder souvenir du positif, sinon c'est la permanente glaciation de l'oubli désespéré !

Petite soeur, Lunar, je me crois autorisé à te le dire (tu peux me voler dans les plumes, oui da !, ma...), tu as moultes décennies de vaille que vaille plutôt bonheur devant toi !!!!!!!!!!!!!!
 
Je sens que je risque de te faire flipper, et pourtant c'est juste jeu de mots avant d'aller me coucher (car en discours "gland" dominant qu'un mec peut prononcer en maîtrise, et nonobstant sans crever de ridicule, j'essaie de faire soft/fort...

- Si on parlait un peu de votre avenir Lunar ?

- Holà Jean … comme vous y allez !
Je ne me projette jamais aussi loin !

- Parlons du présent alors …

- Nous n’en sommes pas encore là !!!

- …

Au-delà de ......... etc, etc..., livre et expose éclatée ton humour !

Ce que je souhaite.

Et oui bien sûr, et surtout, vivre ton amour au-delà du déjanté !

Cela se trouve... ou cela s'effleure deci delà = ce n'est pas forcément en un unique, mais cela peut être en multiples.....

C'est l'intention -la tension- qui compte !

Et à forcer ta chance, les autres finiront bien par devoir s'y habituer pour ton plus grand bonheur...

Jeancharrenéilrêve...
 
Bon, cela dit, sérieurx, 0h20, dodo, je dois trimer ce matin, et comme actuellement je fais de la PAO, mes yeux scotchés sur écrans (2 ensemble, tant les écrans que les yeux) commencent à vouloir sortir des orbites...

Bonne nuit, et bon mardi, Lunar... et je vais essayer de faire un peu silence !
 
jean c a dit... : "Schizo?
Je t'ai expliqué, donc tu m'y reconnaîtras (et toi seule d'ailleurs car je n'ai jamais rien dit à Slanka à propos de cette sorte de double identité, ni à personne d'autre d'ailleurs..."

Bon... de deux choses l'unar... petite rectification : vu que le "Jean C" ne m'a jamais rien dit de sa vie de toute façon... je soupçonne... roh arghhhhhh!!!!
putain!!!!?????????????!!!!!!!!!!!!
Nooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnn!!!!!
HECTOR SORS DE CE BLOG ET REVIENS A LA MAISON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 
HECTOR est passé tout a l heure... il m a enervé avec cet air pretentieux, je te l ai renvoyé :)
inch allah tu dis vrai jeancombre !
 
Hello Lunar and Slanka

Is Hector your private joke ?
 
jeancombre !

ou jeancomble ?
 
Ouf, cela étant, je comprends que redoutables telles que vous le semblez, peu de mecs, à vous suivre, peuvent tenir la distance...

Et d'ailleurs, Hector ne s'est-il pas fait -défait- trainé derrière un char tout autour des remparts qui abritait la belle Hélène qu'il était censé protéger ?
Ou alors, je me plante, c'est peut-être un autre, mais tellement de pénis sont mort pour une conne finalement que j'en perds mon grec et ma latine....
 
Pas guerrier, mais toujours sur la brèche, les filles !

Gentillement se dire que la valeur est dans l'essai, et d'ailleurs, nulle morale, car la vrai valeur est esthétique !

Disons pour simplifier la beauté du geste...

Ou, à la romantique glandu accroché à son rocher :
"les chants désespérés sont les plus beaux..."

jeancritique

PS : le inch allah à la loukoum, on peut s'en passer...

jeancroqueàbellesdents
 
Et dans cette histoire de Troie, hors HECTOR donc, qu'était le PATROCLE ? Another cake squizzé ?

Bon, bonne nuit !

Chaque jour est un renaissance et innocence nouvelle à la vie...

Car à bien y penser, est-on vraiment sûr, s'endormant, qu'on se réveillera ?

Que Morphée soit votre copain...
 
... Vous êtes des malades...
 
... Je vous aime ...
 
Tourterelle,

tu nous aimes ? Merci...

Malades, je ne sais trop, mais il est vrai que l'appétence de l'amour, pour notre espèce, est un trait limite conduisant au pathologique !

Yours, éthologiquement ....
 
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