02 juillet 2006
PARIS S EMBRASE
Paris s'embrase d'une joie nocturne,
Victoires et Klaxons,
Hourras et Marseillaise
Les corps s'échauffent, les hommes sont torses nus et les femmes ont le regard aussi profond et suggestif que leur décolleté et tout aussi rectiligne que leurs longues jambes brunies et dénudées.
Les hommes s'offrent,
Les femmes s'effeuillent de leurs différents pétales de
Pudeur,
Timidité,
Pruderie
Fidélite...
Inhibition...
Qui tombent au sol un à un,
Au pied des lits,
Sur les trottoirs,
Les bancs des parcs...
Paris s'est dévétue de retenue et ses aprêts en jonchent une brulante asphalte,
S'accrochent aux balcons,
Ses cris en éclaboussent les murs,
Mille jambes pressées courent dans ses veines
Elle se dénudent doucement, doucement s'embrasent elles aussi...
Paris s'embrase, "allez la France", il fait si chaud, les calepins s'emplissent de rendez vous galants, les semaines sont courtes, les nuits trop claires, les jours se lèvent trop vite, la vie s'accélère, les croupes se cambrent et les seins se tendent vers les mains qu'ils aimantent...
Les nuits se lèvent et nos yeux de fauve en sont les étoiles,
Paris s'embrase,
Et moi aussi, petit a petit
Les jours se couchent,
Un bruyant ballet s'initie,
D'actes en actes, parade amoureuse,
Musique des peaux qui s'effleurent et des corps qui se cherchent
Sourires et regards,
Tchin des verres qui trinquent et terrasses
Qui sont comme des plages
Victoires et Klaxons,
Hourras et Marseillaise
Les corps s'échauffent, les hommes sont torses nus et les femmes ont le regard aussi profond et suggestif que leur décolleté et tout aussi rectiligne que leurs longues jambes brunies et dénudées.
Les hommes s'offrent,
Les femmes s'effeuillent de leurs différents pétales de
Pudeur,
Timidité,
Pruderie
Fidélite...
Inhibition...
Qui tombent au sol un à un,
Au pied des lits,
Sur les trottoirs,
Les bancs des parcs...
Paris s'est dévétue de retenue et ses aprêts en jonchent une brulante asphalte,
S'accrochent aux balcons,
Ses cris en éclaboussent les murs,
Mille jambes pressées courent dans ses veines
Elle se dénudent doucement, doucement s'embrasent elles aussi...
Paris s'embrase, "allez la France", il fait si chaud, les calepins s'emplissent de rendez vous galants, les semaines sont courtes, les nuits trop claires, les jours se lèvent trop vite, la vie s'accélère, les croupes se cambrent et les seins se tendent vers les mains qu'ils aimantent...
Les nuits se lèvent et nos yeux de fauve en sont les étoiles,
Paris s'embrase,
Et moi aussi, petit a petit
Les jours se couchent,
Un bruyant ballet s'initie,
D'actes en actes, parade amoureuse,
Musique des peaux qui s'effleurent et des corps qui se cherchent
Sourires et regards,
Tchin des verres qui trinquent et terrasses
Qui sont comme des plages